41 m. ago Décision du Conseil Constitutionnel – Me Kabou: « Si j’étais un membre de l’ancien régime, je commencerai à m’inquiéter »

L’arrêt rendu récemment par le Conseil Constitutionnel continue de susciter des réactions dans les milieux juridiques et politiques. Parmi les voix qui se sont distinguées, celle de Me Patrick Kabou, avocat à la Cour, docteur en droit international public et enseignant, a particulièrement retenu l’attention. Dans une publication sur son compte X visité par Senego, Me Kabou a salué une décision « historique » du Conseil Constitutionnel, à la suite du recours déposé contre la loi interprétative. Il a exprimé sa reconnaissance à l’honorable député Amadou Ba, initiateur de ladite loi, ainsi qu’à l’opposition dont le recours « très bien motivé » a ouvert la voie à un débat de fond sur la portée des lois d’amnistie. Mais c’est surtout son avertissement à l’ancien régime qui a marqué les esprits : « Si j’étais un membre de l’ancien régime, je commencerais à m’inquiéter », a-t-il lancé, évoquant la position désormais claire du Conseil sur les crimes graves comme la torture ou les homicides,...

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11 h. ago Loi d’Amnistie : Le Conseil constitutionnel met fin à une “grossière mise en scène”, selon Takku Wallu

Le groupe parlementaire Takku Wallu Sénégal s’est félicité de la décision rendue par le Conseil constitutionnel ce 23 avril 2025, qui invalide la loi interprétative du 2 avril. Une décision que le groupe qualifie de « haute portée historique et juridique », estimant qu’elle met un terme à une tentative de manipulation de la législation à des fins politiques. Voici le communiqué ! « Par sa décision n° 1/C/25 du 23 avril 2025, le Conseil constitutionnel vient de mettre fin à la diabolique tentative d'interprétation de la loi du 13 mars 2024, exercise qui n'était rien d'autre qu'une grossière mise en scène pour faire voter une loi nouvelle. En effet, en déclarant: 1. que la loi du 13 mars 2024 ne portait aucune ambiguité pour être interprétée (considérant n° 20) 2/. que la loi dite interprétative posait une règle nouvelle aux effets rétroactifs plus sévères que la loi ancienne (considérant n°24) 3. que surtout la loi dite interprétative a cherché à amnistier des faits criminels impresc...

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17 h. ago Le  Conseil Constitutionnel  met en garde contre toute tentative d’utiliser la loi d’amnistie pour entraver la justice concernant des crimes graves

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a  rendu sa décision rejetant   la loi interprétative n° 08/2025 du 02 avril 2025 relative à l’amnistie, proposé par le député de la majorité Amadou BA. Cependant, plusieurs considérants de cette décision soulèvent des questions  quant à la conformité de la  loi d’amnistie promulguée par l’ancien président Macky SALL avec […] The post Le  Conseil Constitutionnel  met en garde contre toute tentative d’utiliser la loi d’amnistie pour entraver la justice concernant des crimes graves appeared first on Walf NET.

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2 w. ago Après l'adoption de la loi interprétative : L'ancien CEMGA Mamadou Mansour Seck appelle à la prudence et à la compréhension.

L’adoption de la loi interprétative de la loi d’amnistie a été proposée par Amadou Ba, député de Pastef qui vise à lutter contre l’impunité pour les violations graves de droits humains. Il s’agit notamment des infractions criminelles et correctionnelles constitutives ou pouvant être qualifiées d’assassinats, meurtres, tortures et autres traitements dégradants enregistrés entre février 2021 et mars 2024 au Sénégal. Ladite loi continue de faire couler beaucoup d'encre. Le général Mamadou Mansour Seck n'a pas manqué de tirer la sonnette d’alarme. Selon le quotidien Tribune, l’ancien chef d’Etat-major général des armées (CEMGA) met en garde contre toute stigmatisation des Forces de défense et de sécurité (FDS), rappelant la complexité de leur mission et la possibilité d’erreurs dans l’exercice de leurs fonctions. « On est en démocratie. Je ne peux pas me permettre d’attaquer une loi quand c’est une loi. Mais je voudrais quand-même que l’ensemble de la Nation se rende compte de la diffic...

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2 w. ago Tensions commerciales : Trump menace d’imposer 50 % de droits de douane supplémentaires à la Chine

Le président américain Donald Trump a menacé, ce lundi 7 avril, d’imposer une hausse de 50 % des droits de douane sur les produits chinois à partir du 9 avril 2025, si Pékin ne retire pas les tarifs de rétorsion de 34 % annoncés la veille. Dans un message publié sur sa plateforme Truth Social, M. Trump a vivement critiqué les pratiques commerciales de la Chine, accusant le pays de maintenir des “droits de douane records”, de recourir à des “subventions illégales” et de procéder à une “manipulation monétaire massive et de longue date”. Il affirme avoir déjà mis en garde Pékin contre toute mesure de représailles. « Si la Chine ne retire pas son augmentation de 34 % d’ici demain, le 8 avril, les États-Unis imposeront des droits de douane supplémentaires de 50 % à compter du 9 avril », a-t-il averti. Le président américain a par ailleurs menacé de suspendre toutes les discussions bilatérales en cours avec la Chine, tout en annonçant l’ouverture immédiate de négociations avec d’autres pa...

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2 w. ago Lenteurs judiciaires : Aminata TOURE demande le renforcement du Pool financier

Aminata TOURE, ancienne Première ministre et actuelle Haut représentant du chef de l’État, a rejoint les critiques de certains militants du parti au pouvoir, PASTEF, concernant les lenteurs de la justice dans le traitement des dossiers impliquant des figures de l’ancien régime. Invitée de l’émission Objection sur Sud FM, ce dimanche 6 avril, elle a […] The post Lenteurs judiciaires : Aminata TOURE demande le renforcement du Pool financier appeared first on Walf NET.

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2 w. ago Sondage SeneNews : 60 % de nos lecteurs favorables à la révision de la loi d’amnistie

Un sondage récemment publié par SeneNews révèle que 60 % des Sénégalais interrogés soutiennent la révision de la loi d'amnistie, une initiative portée par Amadou Ba de Pastef. Sur un total de 3 764 votes exprimés, 2 263 personnes ont voté "Oui", tandis que 1 501 votants, soit 40 %, se sont prononcés contre cette initiative. Cette révision législative vise à modifier la loi d'amnistie adoptée en mars 2024, qui couvrait les événements survenus lors des manifestations politiques entre 2021 et 2024. Initialement, cette loi avait pour objectif d'apaiser les tensions politiques en libérant des figures de l'opposition, dont Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye. Cependant, des critiques ont émergé concernant l'exclusion de certains crimes graves, tels que le meurtre, la torture et la disparition forcée, du champ de l'amnistie, ce qui a conduit à des appels à une révision plus approfondie de la loi. Le président Bassirou Diomaye Faye, élu en mars 2024, a exprimé la nécessité d'une réconcil...

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2 w. ago Vote de la loi interprétative de l’amnistie : Les mises en garde du Général Seck

Au lendemain de l’adoption de la loi interprétative de l’amnistie, le général Mamadou Mansour Seck tire la sonnette d’alarme. L’ancien chef d’État-major général des armées (CEMGA) met en garde contre toute stigmatisation des Forces de défense et de sécurité (FDS), rappelant la complexité de leur mission et la possibilité d’erreurs dans l’exercice de leurs fonctions. … Cet article Vote de la loi interprétative de l’amnistie : Les mises en garde du Général Seck est apparu en premier sur Rewmi.com.

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3 w. ago Interdiction de sortie annulée, Mansour Faye prend la parole et avertit : « Je porte à l’attention de l’opinion nationale . »

Mansour Faye, ancien ministre et beau-frère de l'ex-président Macky Sall, a réagi suite à la levée de son interdiction de sortie du territoire. Dans un communiqué publié ce mardi 1er avril 2025, il a salué la décision de la justice tout en dénonçant les entraves à sa liberté de mouvement. Affirmant n’avoir jamais été convoqué ni cité dans une affaire judiciaire, il interpelle directement le ministre de l’Intérieur et met en garde contre toute atteinte aux droits fondamentaux. Voici l'intégralité de sa publication ! "À qui de droit, au nom du droit! Par le biais de mes conseils, j’ai reçu, aujourd’hui mardi 1er avril 2025, l’ordonnance numéro 12 du 28/03/25 concernant l’affaire numéro J/143/RG/25 du 24/03/25 m’opposant à l’Etat du Sénégal. Ce document a été certifié conforme pour expédition le 01/ 04/25 par l’administrateur des Greffes Me Marema Diop Niang. Faisant abstraction des commentaires et des considérants, retenir que le Président de chambre désigné en qualité de juge des réf...

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3 w. ago Grâce présidentielle : 1 121 détenus libérés par Bassirou Diomaye Faye

À l’occasion de la fête de Korité et de la célébration du 65ᵉ anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a accordé sa grâce à 1 121 détenus. Cette mesure s’inscrit dans la tradition de clémence présidentielle observée lors des grandes fêtes religieuses et vise à offrir une seconde chance aux bénéficiaires. Selon un communiqué du ministère de la Justice, cette grâce présidentielle concerne plusieurs catégories de détenus : des délinquants primaires, des prisonniers présentant des gages de resocialisation, des personnes âgées, des individus gravement malades et des mineurs.

Politics

3 w. ago Loi d’amnistie : La Coalition « Ensemble pour Demain » met en garde contre toute remise en cause

La « Coalition Ensemble pour Demain », qui avait  soutenu le vote de la loi d’amnistie par la 14ème législature, a rappelé, , les motivations profondes de ce texte. Dans  un communiqué, elle affirme que l’initiative de l’Exécutif, sous la présidence de Macky SALL, visait à « apaiser le climat politique et social, renforcer la cohésion nationale, consolider […] The post Loi d’amnistie : La Coalition « Ensemble pour Demain » met en garde contre toute remise en cause appeared first on Walf NET.

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last month Me Said Larifou, avocat d’ Ousmane Sonko : « Aucune amnistie ne peut s’appliquer aux crimes les plus graves. »

L’ amnistie est une frontière infranchissable pour les crimes de guerre , le génocide et les crimes contre l’humanité. Voilà la réponse de l’avocat d’ Ousmane Sonko, Me Said Larifoulors d’une conférence de presse organisée ce lundi 24 mars, afin d’apporter des précisions sur la loi votée en mars 2024. Selon l’avocat Franco-Comorien, Me Larifou par ailleurs président du Parti RIDJA- PACTEF, le Sénégal est parmi les rares pays qui disposent les moyens juridiques pour juger les crimes internationaux commis entre 2021 et 2024. « L’ Amnistie ne couvre et ne peut couvrir les crimes les plus graves. L’ impunité de crime internationaux est un combat de l’humanité menée des décennies par des démocrates pour protéger les droits individuels intangibles tels que le droit à la justice. » a-t-il expliqué. À noter, selon le droit international coutumier et conventionnel (notamment les Conventions de Genève, le Statut de Rome de la Cour pénale internationale, et les résolutions del’ONU), ...

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